Is the cause of Wings something that really needs to be … evangelized? Apparently so. When “Man on the Run,” a documentary about Paul McCartney’s 1970s Wings period, had its world premiere at the Telluride Film Festival over the weekend, you could hear patrons talking about what a revelation it was that he generated so much good music in the wake of the Beatles’ breakup, as if he hadn’t remained one of the biggest artists in the world throughout the subsequent decade. So maybe there’s some desire for further vindication that has driven McCartney to write a book about those years (coming out in the fall) as well as executive produce this Morgan Neville-directed doc (hitting select theaters and then Prime Video next year). Maybe everyone who sold McCartney’s post-Beatles period short previously has their reasons for putting blinders on, even in the face of that inescapable a juggernaut. “I was a John guy,” said one enthusiastic, 70-plus festivalgoer, as if that were a completely reasonable explanation for a 50-year immunity to the charms of “Jet” and “Let Me Roll It.” Or perhaps it just takes the creep of old age to agree with the wisdom of the sages, that it isn’t silly … love isn’t silly … love isn’t silly at all. “Man on the Run” is a heck of a lot of fun to watch, if you aren’t still so married to your worn copy of “Plastic Ono Band” that you can’t acknowledge the obvious: If there had been no 1960s (imagine no Beatles, it’s easy if you try), McCartney would still have to be acknowledged as on

It’s hard to be a movie star and a dad at the same time — just ask Channing Tatum. On the latest episode of “Daily Variety” podcast, Daniel D’Addario, Variety chief correspondent, details his reporting for Variety’s Sept. 2 cover story featuring Tatum and director Derek Cianfrance discussing how they brought a stranger-than-fiction true crime story to life in Paramount Pictures’ “Roofman.” Tatum and Cianfrance came together as collaborators at a time when both of them were regrouping in their careers. Tatum is extremely open in discussing the challenges of juggling movie shoots around the world with his most important job of being a parent to his 12-year-old daughter. Tatum, D’Addario notes, is at a key transition point in his career as he reaches his mid-40s. “Roofman,” which premieres Saturday at the Toronto Film Festival, tells the story of a blue-collar North Carolina man, Jeffrey Manchester, who wound up living secretly in a Toys R Us store and robbing McDonald’s fast food restaurants in order to provide for his daughter. Manchester was sentenced to 34 years in prison after being convicted of several robberies in 2000. “I think of [Tatum] as the guy from ‘Magic Mike’ or ’21 Jump Street’ — a fun loving, a goofball. He’s lived a lot of life since then,” D’Addario says. “Those movies were almost 15 years ago, and at 45, he is extremely reflective about the kind of career he wants to have and the kind of work he want

Dans le documentaire évocateur d'Oren Jacoby Ce n'est pas un exercice , une puissante forme d'alliance - trois écologistes de base passionnés se joignent à des descendants de John D. Rockefeller pour affronter les géants du pétrole et du gaz les plus redoutables aux États-Unis. Justin J. Pearson unit un mouvement multiracial à Memphis, au Tennessee, dans un stand féroce contre un oléoduc destructeur de pétrole brut.Roishetta Ozane, une mère résiliente de six enfants de Louisiane, canalise le chagrin de perdre sa maison avec des ouragans implacables et record dans un plaidoyer politique féroce - faisant sa lutte contre l'épave de sa communauté jusqu'aux étapes du Congrès.Et Sharon Wilson, autrefois un initié de l'industrie pétrolière, maintenant un chasseur de méthane intrépide, Wields Infrarouge Technology pour révéler les poisons invisibles qui s'infiltrent des sites de fracturation hydraulique et des pipelines à travers le Texas. Les soutiens sont des héritiers de Rockefeller provocants - des demandes qui ont tourné le dos à la dynastie pétrolière de la famille pour exposer la campagne de décennie de décennie d'ExxonMobil.Ensemble, comme le révèle le film, cette coalition déniche ce qu’ils appellent le «Big Con» de Big Oil - une industrie doublée sur les combustibles fossiles tout en parcourant la vérité dans les couches de désinformation. «Lorsque les institutions et les protections démocratiques sont supprimées, la cupidité des entreprises ne se déroule pas - et le public en paie le prix», reflète Jacoby."Comment protégeons-nous nos communautés? Nous avons trouvé trois personnes extraordinaires qui ont relevé le défi, nous montrant la voie à suivre. Ils sont confrontés à des géants pétroliers et gaziers qui ignorent les avertissements scientifiques et continuent d'étendre les infrastructures qui alimentent la crise climatique. Chacun d'eux a que

Oscar Isaac se tenait à nouveau baigné dans le Golden Glow of Applause, bénéficiant de sa deuxième ovation debout au Festival du film de Venise en cinq jours.La première de Julian schnabel href = "https://variety.com/t/in-the-hand-of-dante/" id = "auto-tag_in-the-hand-of-dante" data-tag = "in-the-hand-of-dante"> entre la main de Dante ", mercredi soir a rencontré une réception de huit minutes tonitruante.Cela est venu dans les talons de son triomphe précédent, où il a mené "Frankenstein" de Guillermo del Toro à une ovation à couper le souffle de 13 minutes quelques jours plus tôt. Alors que les crédits finaux roulaient sur «In the Hand of Dante», le théâtre a pulsé d'émotion.Dans le film, Isaac incarne magistralement deux âmes - le poète du 14e siècle Dante Alighieri et l'écrivain moderne tourmenté Nick Tosches.Surmonté pour le moment, Isaac a embrassé son réalisateur, Eyes scintillants, avant de se tourner vers la foule, son sourire radieux alors qu'il agitait vers une mer de fans adorants. Plus tôt dans la soirée, Isaac avait parcouru le tapis rouge avec la co-star Jason Momoa , dont le choix de mode audacieux - un costume rose bébé jumelé avec des birkenstocks assorties - tourne la tête.Momoa est entré dans l'historique Sala Grande de Venise flanqué de Schnabel et de la distribution, dont Louis Cancelmi, Franco Nero et Benjamin Clementine.Pourtant, avant le début du film, il se glissa tranquillement, manquant l'ovation triomphante.Parmi les autres noms lumineux du film - gal gadot , Gerard Butler , Martin Scorsese , et al Pacino - aucun n'était présent, leur absence ressentie da

Channing Tatum a finalement revendiqué sa place dans l'univers cinématographique de Marvel avec ses débuts en tant que Gambit dans "Deadpool et Wolverrine". "Mais bien avant d'entrer dans ce rôle emblématique, Tatum avait une fois essayé d'entrer dans le monde des super-héros comme thor - un rêve qui a glissé à travers ses fingers il y a des années. Dans le dernier variété couverture du film 2011."Je ne voulais pas vraiment être Thor", a-t-il avoué."Mais je voulais auditionner devant Kenneth Branagh." L'audition a été un moment déterminant, quoique douloureux, de sa carrière.Tatum se souvient: "Après avoir pris une prise, [Branagh] a dit:" Vous n'êtes pas autorisé à bouger. Mettez vos mains sur cette chaise. "Et je me fige. Il a cloué ma béquille. J'ai passé les cinq prochaines années à vraiment essayer d'apprendre l'immobilité."L'expérience a été humiliante, mais c'est devenu un tournant calme dans son voyage. Bien que Chris Hemsworth est finalement devenu le dieu du tonnerre, Tatum a trouvé son cœur appartenait à un autre héros - gambbit.Il a poursuivi le rôle avec une passion inébranlable, développant un film de gambit sous l'univers «X-Men» de 20th Century Fox.Pourtant, le projet a été en proie à des retards et à des remaniements.Il était autrefois prévu pour une sortie en octobre 2016, et en novembre 2017 , Lizzie Caplan a joint à la tê

Andy Serkis Récemment a déclaré à Metro qu'il se dirige vers la Nouvelle-Zélande ce mois pour commencer le travail sur "href = "https://variety.com/t/the-lord-of-the-rings-the-hunt-for-gollum/" id = "Auto-Tag_The-Lord-of-Rings-the-Hunt-for-Gollum" Data-Tag = "The-Lord-of-the-Rings-the-Hunt-For-Gollum"> Le Seigneur des rings: la chasse à Gollum "Mettant en vedette et réalisant.Warner Bros. a déjà annoncé Le film ouvrira le film "17 décembre" 2027.«The Hobbit: The Battle of the Five Armies» en 2014, réalisé par Peter Jackson. "Je suis très excité de revenir en arrière. Je pars pour la Nouvelle-Zélande le samedi [6 septembre]", a partagé Serkis, , sa voix teintée de nostalgie et d'anticipation. "Nous descendons pour commencer à préparer et à y travailler, parce que je dirige. Warner Bros. annoncé pour la première fois "La chasse à Gollum" en décembre et a ensuite dit qu'elle serait prête pour THEATERS dans 2026.2027. Serkis dirige le goard et met en vedette à nouveau dans le rôle-titre, qu'il joue via la capture de mouvement depuis "The Lord of the Rings: The Two Towers" en 2002. "Les efforts de réalisateur de Serkis incluent «Mowgli: Legend of the Jungle» et «Venom: que ce soit le carnage».Mais Gollum reste sa création la plus emblématique - celle qui a défini sa carrière et a façonné l'avenir même de la capture des performances au cinéma. Peter

Ciao! The 82nd annual Venice Film Festival is underway and the stars have hit the canals, with this year’s world premieres including Yorgos Lanthimos kidnap thriller “Bugonia,” Noah Baumbach’s showbiz dramedy “Jay Kelly,” Guillermo del Toro’s lavish adaptation “Frankenstein,” Luca Guadagnino’s college campus thriller “After the Hunt” and Benny Safdie’s UFC biopic “The Smashing Machine.” New films from Mona Fastvold, Kathryn Bigelow, Paolo Sorrentino, Jim Jarmusch, Park Chan-wook, Gus Van Sant, Lucrezia Martel, László Nemes and Kaouther Ben Hania are also in the lineup. This year’s jury is headed by Alexander Payne, the director of films like “The Holdovers,” “Election” and “Sideways.” Venice often serves as the launch of awards season, coming ahead of an onslaught of other fall festivals including Telluride, Toronto and New York that distributors use to lay the foundation for campaigning in the coming months. See all of Variety’s reviews from the 2025 Venice Film Festival below. The roundup will be updated throughout the festival to include the most recent reviews. Read Variety’s review: Julian Schnabel’s gonzo literary gangster movie is a folly that pulsates with life. Oscar Isaac plays Nick Tosches — and Dante — in a heist-movie-meets-philosophical-rumination that overreaches almost on purpose. Read Variety’s review: Pietro Marcello unleashes Valeria Bruni Tedeschi on a torrid portrait of a prima donna. Italian theater star Eleonora Duse gets an adulatory l

Si Dylan O'Brien a prêté ses talents de batterie à Taylor Swift Le nouvel album très attendu, "La vie d'une showgirl", "Oh, je ne peux pas dire!"Il a taquiné avec un sourire au courant lors d'une conversation intime lors de la première de son dernier film indépendant, " Twinless ,, tenu mardi soir au Pacific Design Center à West Hollywood.Ses yeux scintillaient de méfaits en répétant: "Tu sais, je ne peux pas le dire." La batterie d'O’Brien a précédemment honoré la piste "neige sur la plage" href = "https://variety.com/2022/music/album-reviews/taylor-swift-midnights-album-review-1235410102/"> "Midnights". Leur chimie créative a également brillé dans le court métrage émotionnellement chargé de Swift, "Kot Well", où O’Brien a partagé l'écran avec Taylor et Sadie Sink («Stranger Things»), offrant une performance qui a persisté longtemps après le roulement des crédits. Malgré leur étroite collaboration, O’Brien insiste sur le fait qu’il n’a pas pressé Swift pour un aperçu de son nouvel album."Je respecte l'espace", a-t-il dit doucement, avec le genre de révérence réservée à l'art et aux artistes qui ont façonné votre vie. Dans «Twinless», un film sombre et émouvant de façon inattendue, O’Brien joue un double rôle en tant que Roman et son twin identique défunt, Rocky - un personnage dont l'esprit vibrant et sans vergogne est révélé à travers des flashbacks obsédants.Aux côtés de James Sweeney , qui j